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Le Pari Mutuel Urbain propose maintenant des paris hippiques, sportifs et du poker en ligne.

Évolution du logo PMU.   Je joue avec PMU Turf Le Pari Mutuel Urbain est plus connu sous son acronyme PMU. Il s’agit d’une entreprise française longtemps spécialisée dans les paris hippiques et qui à diversifier ses activités depuis 2010, en proposant désormais également des paris sportifs et du poker en ligne. Historiquement, Pari Mutuel Urbain avait pour cœur de métier les courses de chevaux. Plus précisément, le Pari Mutuel Urbain, depuis ses débuts, organisait et commercialisait, des paris sur les courses de chevaux, appelé aussi le turf, ou le hippisme. Aujourd’hui, suite à l’ouverture à la concurrence de jeux en ligne de 2010, vous pouvez parier sur les courses de chevaux aussi bien chez PMU, de chez d’autres acteurs en ligne légaux en France (c’est-à-dire ayant reçu un agrément de l’ANJ), comme Unibet, Betclic, GenyBet, Zeturf, par exemple. L’origine du Pari Mutuel remonte au moment où les paris des joueurs ont été mutualisés pour la première fois (en 1868). Quant au mot Pari Mutuel Urbain, il date officiellement du 11 juillet 1930, suite à un décret. La société PMU (SIREN : 775671258 ; code NAF 9200Z (organisation de jeux de hasard et d’argent)), dont l’organisation juridique est un groupement d’intérêt économique (GIE), possède actuellement 3 agréments en France pour ses activités de jeu en ligne (N° d’agrément hippique : 0002-PH-2015-06-07 ; sportif : 0002-PS-2010-06-07 : poker : 0002-PO-2010-06-07). Le siège social de l’entreprise se trouve 2, rue du Professeur Florian Delbarre – 75734 PARIS Cedex 15.

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Qu’est-ce que le Pari Mutuel Urbain ?

Le Pari Mutuel Urbain, communément appelé PMU est une société française spécialisée dans l’organisation des paris hippiques. Elle existe depuis 1930 et occupe la première place en Europe et la 3e au niveau mondial pour ce qui est du pari mutuel. En effet, il s’agit de l’organisme qui prend en charge l’enregistrement et le bon déroulement des paris sur les courses de chevaux, hors des stades. Pari Mutuel Urbain réunit ainsi les paris placés par les joueurs dans les cafés, les bars et tout autre endroit où l’on peut suivre la course à distance. Sa tâche consiste à mutualiser tous les paris des joueurs afin de répartir correctement le montant de ceux-ci. La répartition se fait entre les gagnants, les impôts, les organisateurs de courses et autres organismes (sociaux par exemple). Le rôle du Pari Mutuel Urbain, c’est aussi de concevoir, de commercialiser et de faire la promotion du pari mutuel sur tout le territoire européen. En 2010, l’entreprise PMU a élargi son champ d’action et prend désormais en charge le poker en ligne et les paris sportifs après ouverture des jeux d’argent en ligne à la concurrence de 2010.

À retenir de l’histoire du Pari Mutuel Urbain :

Le Pari Mutuel Urbain est une société créée en 1930 en vue d’une gestion efficiente du pari mutuel. Tout commence en 1891 lorsque Joseph Oller décide de réglementer les paris hippiques. Il évoque l’idée que les parieurs s’opposent entre eux (ils ne parient pas contre un bookmaker) et que les gains de tous les parieurs soient réunis et ensuite distribués aux gagnants (après que les organisateurs aient pris leurs parts). C’est ainsi que naît la loi du 2 juin et que les sociétés de Courses prennent en charge la vente et l’organisation du pari mutuel. Mais jusque-là, il n’était question que de vente des paris dans les hippodromes. En 1930, une loi, celle du 16 avril, autorise les Sociétés de Courses à vendre le pari mutuel hors des hippodromes. Pour accomplir cette tâche, ces sociétés-là donnent naissance au Pari Mutuel Urbain. Depuis, le pari mutuel a connu de nombreux changements. De nouveaux types de paris ont vu le jour, le traitement des paris a été repensé, les anciennes règlent ont changées, le PMU est devenu un groupement de plusieurs sociétés, le concept a voyagé hors de la France et finalement, le PMU est devenu incontournable.

L’organisation du Pari Mutuel Urbain :

Le Pari Mutuel Urbain s’organise autour d’un centre informatique qui recueille et traite les informations que lui envoient deux types de serveurs. Il s’agit du serveur qui enregistre les paris avant la réunion (ALR) et du serveur qui enregistre les paris pendant la réunion (PLR). Les paris sont placés dans les points de vente grâce aux terminaux conçus pour cela, par téléphone, ordinateurs, smartphones et tablettes, par internet, à travers la chaine de télévision dédiée. Ce centre informatique, grâce à des algorithmes, des calculs et des techniques bien rodées, calcule les gains des gagnants en tenant compte du montant et du type de leur pari. Il envoie par la suite le résultat de son traitement aux serveurs qui lui ont fourni les informations dont il avait besoin. C’est ce qui permet aux gagnants de récupérer leurs gains dès que la course est terminée, à la télévision. En dehors des points de vente, le Pari Mutuel Urbain fonctionne grâce à ses directions régionales. Au nombre de 5, elles ont pour rôle de faire la liaison entre leur région et le siège du PMU. De plus, elles négocient des contrats pour le compte de l’entreprise.

Du pari mutuel au PMU :

Au départ, les courses de chevaux faisaient l’objet de paris chez les bookmakers ou à la poule. Malheureusement, les paris présentaient des inconvénients tels que la part trop grande laissée au hasard et des tricheries de la part des organisateurs. C’est grâce à Joseph Oller que les choses changent et que le pari devient mutuel. Dans son système, le parieur a le droit de choisir le cheval qu’il envisage comme gagnant et miser sur celui-ci. À la fin de la course, l’organisateur prélève une partie du montant des paris et le reste est partagé entre les joueurs qui ont misé sur le bon cheval. Très tôt, cette idée a plu aux parieurs et le nombre de joueurs a connu une augmentation rapide. Le succès a été si grand que dans les hippodromes, les parieurs pouvaient choisir leur type de pari. Mais ce n’est pas seulement dans les hippodromes que ce système s’est développé.

Dans les bars, les cafés et autres endroits, il y avait de plus en plus de passionnés. Cela finit par attirer l’attention du parquet qui interdit les paris à la poule et a fermé les agences de pari mutuel. C’est alors que les bookmakers ont pris le contrôle et développent leur entreprise. Mais les autorités des villes n’ont pas tardé pas à se rendre compte que cette activité ne leur rapportait rien, à eux en particulier. Des réunions ont été organisées, des décrets ont été pris et l’activité des bookmakers fut interdite. Le public, devenu habitué aux paris, n’allait plus dans les hippodromes et le marché menaçait de s’effondrer. Le gouvernement s’en est alors mêle et autorisé à nouveau le pari mutuel dans les hippodromes. Cette fois cependant, une partie de l’argent collecté est alors reversée aux exploitants et à des œuvres de charité. Les lois ont exigé aussi que les sociétés proposant des paris obtiennent avant tout une autorisation.

Longtemps après la légalisation du pari mutuel en 1891, le gouvernement s’est rendu compte que le pari mutuel était indispensable hors des hippodromes. Il a alors confié aux sociétés de courses, l’organisation de ce type de pari à l’extérieur des hippodromes. Ces sociétés ont donc créent un service qui prendra en charge cette organisation. C’est la naissance du PMU.

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Quelques chiffres clés sur le Pari Mutuel Urbain :

De sa création jusqu’à ce jour, le Pari Mutuel Urbain a enregistré des chiffres tantôt hauts, tantôt bas. Certains objectifs tels que la réduction des coûts et du personnel n’ont pas pu être atteints comme prévu. Cependant, le chiffre d’affaires de l’entreprise a connu une hausse assez conséquente en 2017 et a atteint 9 milliards 929 millions de dollars. Ce chiffre n’a pas cessé de croître depuis et fait de l’entreprise une véritable richesse pour le secteur économique français. Au total, ce sont plus de 75 000 emplois qui sont fournis par le Pari Mutuel Urbain, sans compter les emplois indirects. L’ensemble des sommes rassemblés grâce aux paris est réparti à raison de : 75 % pour les gagnants, 9 % pour l’état, 8 % pour les Sociétés de Courses et les 8 % restants couvrent les commissions des partenaires et les charges liées à l’exploitation. Le Pari Mutuel Urbain, c’est aussi 8 000 points de vente au minimum, une centrale électrique qui gère, traite et redistribue les données, ainsi que plus d’une dizaine de types de paris. Chaque année, ce sont plus de 6 millions de Français qui font leur mise auprès du PMU et ce chiffre grandit d’année en année.

À retenir de l’entreprise PMU :

Le PMU est une entreprise et un groupement d’intérêt économique qui existe depuis 1930 qui est sous la tutelle de l’État français à travers le ministère de l’Agriculture et celui du Budget. Le PMU rassemble 54 sociétés, dont Le Trot, le Cheval français et France Galop. L’entreprise est dirigée par un Conseil d’Administration qui se compose de 10 personnes. Il s’agit du Président, du Directeur Général Délégué, des 2 représentants de l’entreprise Le Cheval français, des 2 représentants de l’entreprise France Galop, de l’ingénieur Général désigné du GREF ainsi que de 3 autres représentants. Appelés sous-directeurs, ceux-ci viennent du ministère de l’Agriculture, de la Comptabilité publique et du Budget. Ce sont eux qui assistent aux conseils organisés par le PMU, mais d’autres membres du gouvernement peuvent y assister pour peu qu’ils aient un rôle à y jouer. Le président est nommé par l’Assemblée Générale et la durée de son mandat est de 4 ans. Toutes les personnes membres de l’entreprise PMU ont pour rôle de veiller à la sécurité des parieurs et de garantir la transparence des paris. L’entreprise dispose de points de vente répartis à travers toute la France. L’entreprise travaille également avec des collaborateurs étrangers afin d’avoir une bonne présence dans d’autres pays et de proposer des paris sur les courses ayant lieu dans lesdits pays.

Les jeux proposés par le Pari Mutuel Urbain :

L’une des premières choses à laquelle le joueur doit faire face pour un pari sur les courses est le choix de son type de jeu. Effectivement, le PMU se distingue par la grande variété de paris disponibles. À sa création, le Pari Mutuel Urbain ne proposait pourtant que le pari classique. Mais depuis la création de nouveaux types de paris en 1954, de nouvelles offres ont fleuri. Chaque pari a ses règles et ses exigences. Il suffit de les connaitre pour bien choisir le sien.

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Quinté + et e.Quinté + :

Le Quinté+ a été créé en 1989 pour relayer le Tiercé. Il consiste à trouver les 5 chevaux qui franchiront la ligne d’arrivée en premier. La mise minimale s’élève à 2euros, mais pour gagner, il faut trouver les 5 cheveux dans l’ordre d’arrivée.

Quarté + et e.Quarté + :

Le Quarté + est né en 1986 et son montant minimum est de 1,3 euro. Faire un Quarté + c’est trouver les numéros des 4 chevaux qui finiront premiers et surtout de les trouver dans l’ordre où ils arriveront.

Tiercé et e.Tiercé :

Le Tiercé semble être un type de pari qui existe depuis la création du Pari Mutuel Urbain. Mais il ne devient un succès qu’en 1956. Pour le remporter, le joueur se doit d’indiquer les 3 chevaux qui arriveront finalistes et de préciser leur ordre d’arrivée. La mise de base est de 1euros et ce type de pari se fait uniquement pour les courses avec 8 participants au moins.

Pick 5 et e.Pick 5 :

Pour ce type de pari, il faut un minimum de 12 participants à la course. Le joueur ne peut pas parier moins de 1euro et il doit indiquer les 5 gagnants de la course. Ici toutefois, il n’est pas nécessaire de les indiquer dans l’ordre. C’est un type de pari que l’on peut faire 3 ou 4 fois par jour, et ce, depuis le 1er jour de l’année 2016.

Tic 3 et e.Tic 3 :

Pour jouer au Tic 3, il faut avoir au minimum 4,3 euros. Il permet de faire plusieurs paris avec le même ticket. Il s’agit du Quarté+, du Quinté+ et du Tiercé. Mais il est essentiel de garder les mêmes chevaux et la même combinaison pour ces 3 types de paris.

2 sur 4 et e.2 sur 4 :

Comme pour le Quarté+, le joueur choisit 4 chevaux qui seront potentiellement les gagnants. Ici cependant, il remporte même si seulement 2 des chevaux qu’il a choisis remportent la course. De plus, l’ordre n’a ici aucune importance.

Simple et e.Simple :

Pour jouer au simple, il faut disposer de 1,5 euro. Ce pari se présente sous deux formes : le Simple gagnant et le Simple Placé. Pour le premier, il faut trouver le cheval qui remportera la course et faire sa mise dessus. Dans le second cas, il est essentiel de trouver un cheval qui arrivera 1er, 2e ou 3e à l’issue de la course. Bien évidemment cela dépend du nombre de partants. Si la course compte 4 ou 7 participants, le cheval désigné devra être l’un des 2 premiers. Mais pour une course de 8 participants au minimum, le cheval choisi peut être l’un des 3 gagnants.

Couplé et e.Couplé :

Le Couplé, tout comme le Simple se joue avec 1,5 euro au minimum et propose plusieurs options. Le parieur peut opter pour un Couplé Ordre, un Couplé Gagnant ou un Couplé Placé. Le Couplé Ordre est pour les courses à 4 participants et exige donc que le parieur devine les deux chevaux qui arriveront 1er et 2e dans l’ordre. Pour le Couplé Gagnant est pour les courses avec 8 participants, tout comme le Couplé Placé. Au Couplé Gagnant, le parieur choisit les deux premiers chevaux qui franchiront la ligne d’arrivée et cela, peu importe leur ordre d’arrivée. Au Couplé Placé, les 2 chevaux choisis par le parieur doivent être parmi les 3 premiers, dans n’importe quel ordre.

Trio et e.Trio :

Le Trio aussi exige une mise de départ de 1,5 euro. Ici, le parieur doit deviner les 3 chevaux qui occuperont les 3 premières places à la fin de la compétition. Ceux-ci doivent arriver dans l’ordre indiqué par le parieur pour un Trio Ordre ou arriver dans le désordre pour un simple Trio.

Report + et e.Report + :

Le Report+ est un pari auquel on peut participer avec seulement 1euro de mise. On parle de Report+ lorsque les gains remportés par le parieur pour un Simple Gagnant par exemple sont reportés pour un autre type de paris. En effet, le Report+ permet de miser une partie ou la totalité des gains d’un pari Simple Gagnant sur un pari Simple Placé, un pari Couplé Gagnant, un pari Couplé Placé ou encore un 2sur4. La mise sur un autre type de pari peut représenter le ¼, le ¾, la ½ ou l’ensemble des gains du premier pari. S’il ne mise qu’une partie, il peut récupérer la partie qu’il n’a pas misée.

Mini-Multi et e.Mini-Multi :

Le Mini-Multi concerne les courses avec 10, 11, 12 ou 13 chevaux partant. Son montant minimal est de 3 euros. Avec le Mini-Multi, il est possible de parier sur la victoire de 4 à 6 chevaux participants. L’avantage, c’est que le parieur emporte des gains si 4 des chevaux sur lesquels il a misé arrivent à franchir la ligne d’arrivée avant les autres. Dans ce cas, peu importe qu’il ait indiqué le bon ordre ou pas, il remporte tout de même des gains.

Simple Jackpot et e.Simple Jackpot :

Le Simple Jackpot peut être un Simple Gagnant ou un Simple Placé. Mais dans ce cas-ci, le reçu du parieur comporte un numéro multiplicateur compris entre 1 et 1000. Le parieur doit déposer sa mise sur le cheval gagnant ou un des 3 premiers de la course. Si ses prévisions sont justes et qu’il remporte son pari, le montant de ses gains est multiplié par le numéro multiplicateur qui figure sur son reçu. Pour le pari, la mise de base est donc de 1,5 euro pour le Simple Gagnant ou Placé et de 0,5 euro pour le numéro multiplicateur.

Super 4 et e.Super 4 :

Le montant minimum de la mise pour le Super 4 est de 1euros. Le Super 4 désigne un pari pour lequel le joueur devine les 4 chevaux qui finiront la course les premiers et cela dans l’ordre. Mais il n’est possible de jouer au Super 4 que lorsque la course compte 5 à 9 participants. Pour une course de 5, 6 ou 7 participants, ce type de pari forme une masse unique avec le Trio Ordre. Si au contraire, le nombre de participants est de 8 ou 9, le Super 4 peut former une masse unique aussi bien avec le Trio Ordre qu’avec le Trio.

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Les paris SpOt :

Les paris SpOt sont utilisables avec plusieurs types de paris proposés par le Pari Mutuel Urbain. Alors que pour les paris classiques, le joueur choisit lui-même les chevaux, pour les paris SpOt, il laisse à l’ordinateur le soin de décider pour lui. Il peut soit choisir quelques chevaux et laisse l’ordinateur choisir le reste, soit laisser l’ordinateur choisir tous les chevaux. L’ordinateur ne fait cependant pas son choix au hasard. Il prend en compte tous les paris réalisés par les autres joueurs. Ainsi, la combinaison formée par l’ordinateur est un peu plus proche et réaliste que celle qu’elle aurait formée si le choix était aléatoire. Les jeux SpOt comprennent le Quinté + SpOt, le Multi SpOt, le 2 sur 4 SpOt, le Couplé SpOt ainsi que le Trio SpOt. Pratiquement tous les paris proposés par le PMU sont pris en compte. Seuls le Report + et le Simple n’offrent pas cette opportunité. Pour les jeux SpOt, le montant minimal de la mise est identique à celui des paris classiques pour chaque type de pari. Pour le Trio SpOt par exemple, il s’élève à 1,5 euro, comme pour le Trio.

 
 
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Auteur de l'article : Je m’appelle Fred et je suis fan de gaming depuis toujours. Sur le blog ludo9.com, je vous partage mon expérience, mes avis, mes astuces et mes découvertes. Mon ambition est de vous aider à mieux vous amuser et à gagner.

 

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Citation du moment :

« Tricher au jeu sans gagner est d’un sot. »
Voltaire