Poker en ligne gratuit ou en argent réel. Jouer au poker online.

Pour jouer au poker en ligne, il vous faut un ordinateur ou un smartphone ou encore une tablette et une connexion Internet. En effet, le poker en ligne désigne toutes formes de poker qui se pratiquent à l’aide d’un appareil informatique (ordinateur, smartphone, tablette) connecté à Internet et dans lesquelles se confrontent des joueurs humains entre eux, dans une partie. Lorsque vous êtes équipé du matériel informatique nécessaire, vous pouvez jouer en vous inscrivant dans l’une des 7 salles de poker online légales en France. Il faut savoir qu’en métropole et en outre mer, le poker sur le net est légalisé depuis 2010 et que seulement 7 opérateurs disposent actuellement d’une licence obtenue auprès de l’ANJ (Autorité Nationale des Jeux). Cette licence leur permet de proposer une dizaine de variantes différentes à des personnes majeurs résidents en République française. Le poker en ligne peut se pratiquer en téléchargeant un logiciel sur son ordinateur, en jouant dans un navigateur internet, c’est-à-dire sans téléchargement de programme, ou encore en téléchargeant et en installant une application sur son smartphone ou sa tablette. Quel que soit votre matériel informatique, il faut commencer par s’inscrire sur le site internet de la salle online. Chacun peut ensuite commencer à jouer sur l’appareil informatique de son choix. Tout le monde a ensuite la possibilité de jouer en mode “play money” ou de miser de l’argent réel en utilisant le mode à “real money”. C’est à chacun de choisir s’il préfère jouer pour le plaisir, pour apprendre ou en mettant jouer avec enjeu financier (à partir de 10 centimes le buy-in ou la cave, selon les opérateurs). Si vous êtes débutant, je vous recommande, pendant quelque temps, au moins, de ne jouer qu’en mode play money ou de participer à des freerolls (qui sont des tournois gratuits qui rapportent des sous à ceux qui terminent dans les premières places), car un temps d’adaptation aux règles, à l’environnement de jeu, aux adversaires, au rythme de jeu est nécessaire. En effet, quand on joue sur le web, on ne voit pas ses adversaires, le jeu est rapide, on doit se fier aux données affichées à l’écran, être attentif aux patterns. C’est un jeu probablement plus technique, plus mathématique que celui qui se pratique en live, dans lequel la dimension physique compte beaucoup. Bien qu’il s’agisse du même jeu de poker, les différences entre le jeu online et en présentiel sont assez nombreuses.

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Les spécificités du poker en ligne :

Le poker sur internet a beaucoup de particularités par rapport au jeu en face à face. Il est notamment possible de jouer à tout moment, car il y a toujours des tables ouvertes 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 sur internet. On peut jouer au poker online depuis chez soi tranquillement installé devant son ordinateur, en déplacement et même à la terrasse d’une brasserie, grâce à son smartphone ou à sa tablette. Le poker online se pratique où on veut, quand on veut, mais aussi comme on veut, car il existe beaucoup de variantes qui sont disponibles sur les sites légaux en métropole et en outre mer. Certains types de parties ont même été inventées par les opérateurs et ne sont disponibles que sur internet comme le go-fast le Zoom (dans ce type de partie, dès que vous jetez (fold en anglais) une main, une nouvelle main vous est attribuée, ce qui permet de jouer beaucoup plus de mains que dans n’importe quelle autre sorte de partie). Sur internet, on rencontre des adversaires qu’on ne croiserait pas forcément au casino du coin. C’est encore plus vrai avec le partage de liquidité qui permet aux résidants hexagonaux de jouer contre adversaires espagnols ou portugais. Non seulement les variantes sont nombreuses, mais en plus, les limites sont accessibles facilement. Il est même possible de jouer en mode “play money” chez les 7 opérateurs légaux (sauf Unibet). Pour ceux qui apprécient de jouer en misant des pépètes, les limites sont très larges puisqu’en microlimite, il est possible de jouer à partir de 10 centimes et en hautes limites, les buy-in peuvent atteindre plusieurs milliers d’euros.

Le poker en ligne et aussi plus rapide sur internet qu’en présentiel. Il faut dire que le mélange, le brassage et la distribution des cartes sont d’automatique. Le compteur de temps pour chacun est impartial, ce qui fait que les coups s’enchainent très rapidement. Beaucoup de personnes ont même pris l’habitude de participer à plusieurs parties en même temps (le multitabling serait très difficile à faire techniquement en présentiel). En multitablant, le volume de jeu peut être considérablement plus élevé en jouant online, ce qui permet d’accumuler une grande expérience un peu de temps.

Les débutants apprécient particulièrement de jouer au poker sur le net, car ils disposent d’outils qui leur permettent de progresser (tutos, quiz, vidéos, articles de blog, F.A.Q.) à leurs rythmes et ils peuvent s’entraîner tout d’abord en mode play money, puis ils peuvent aussi participer à des freerolls et ensuite débuter en micro limites, c’est-à-dire avec des enjeux financiers minimes (caves ou buy-in à partir de 0.10 euro). 

Au poker sur internet, vous avez la possibilité de gagner des tickets pour participer à des tournois sur le net avec de beaux prize pools et en vis-à-vis dont certains sont très prestigieux comme les EPT, les World Series de Las Vegas (WSOP) ou encore les WPT, par exemple.

 

Le poker en ligne et son Histoire :

C’est en 1998 que les 2 premiers sites de poker en ligne font leur apparition. Il s’agissait de PlanetePoker, puis de ParadisePoker. Le rake prélevé par ces pionniers s’élevait à 5 % (le rake est le prélèvement effectué par la room sur les parties. Ce modèle économique continue de fonctionner sur le principe du rake).

2001 : Naissance de 2 sites internet de poker qui sont ensuite devenus des leaders mondiaux : il s’agissait de PokerStars et de PartyPoker.

2003 : L’essor du poker sur le web a été boosté par la victoire, au Main Event des WSOP de Las Vegas, d’une personne issue des qualifications sur Internet, Chris Moneymaker. Cette année-là, Chris Moneymaker s’était qualifié pour seulement 86 dollars (et pas 39 $, comme le raconte la légende) et il a remporté 2 500 000 dollars, en battant 830 participants. Cette victoire de Chris Moneymaker a prouvé, pour la première fois, que quelqu’un venu du jeu sur internet devenait capable de battre les meilleurs adversaires, quelque soit leurs parcours.

En 2010, la République française a ouvert à la concurrence, le marché des jeux sur la toile pour le secteur du poker, des paris sportifs et hippiques online. Cette ouverture avait plusieurs buts :

• Il s’agissait d’encadrer une activité qui par ailleurs existait déjà, mais en dehors de tout contrôle.
• Il fallait créer un cadre législatif permettant de se mettre en conformité avec la réglementation européenne et de faire évoluer le droit national qui devenait obsolète sur les questions de jeu sur le web.
• L’État avait un cœur d’obtenir de nouvelles rentrées fiscales sur des activités qui jusqu’alors lui échappaient en grande partie (l’état prélevait des taxes sur l’activité du PMU et la FDJ). À ce propos, l’État s’est bien servi après 2010, sur les sites agréés ARJEL (Autorité de Régulation des Jeux En Ligne). Ce taux de prélèvement exorbitant de l’État français (qui asphyxie progressivement ce secteur économique) n’a toujours pas baissé malgré les demandes répétées des personnes et organismes du secteur concerné.
• L’état souhaitait que les acteurs du marché répondent à un cahier des charges permettant de lutter contre le blanchiment d’argent, le risque d’addiction et se donnent les moyens de lutter efficacement contre toute forme de fraude.
• Il fallait également que l’identité de chacun puisse être contrôlée de façon à éviter que des mineurs puissent s’inscrire et puissent engager des fonds sur le net.
• Le législateur a prévu que les gagnants pourraient toucher leurs gains directement sur leur compte bancaire.

Il faut savoir qu’en République française, le prélèvement au poker est effectué directement sur les mises et non sur le produit brut des Jeux (PBJ). Sur le Texas Holdem et les autres variantes, le prélèvement de l’état est de 2 %, sur les paris sportifs il est de 8,5 % et sur ceux concernant le turf il est de 15,5 %. Lors de la loi de 2010, le législateur a prévu un taux de retour moyen aux joueurs entre 80 et 85 %.

Dans la loi de 2010, une clause prévoyait une évaluation après 2 ans et un éventuel ajustement du taux de taxation. Mais depuis 2010, il n’y a pas eu une seule évaluation du taux de taxation et celui-ci est resté inchangé, malgré les observations et les demandes répétées des acteurs du secteur. L’État, depuis 2010, est en train de tuer, petit à petit, le poker sur le net et plus généralement l’industrie des divertissements ludiques utilisant de l’argent en ligne, en ne prenant pas en compte l’opinion pourtant éclairée des acteurs et professionnels du secteur.

En 2016, sont autorisées de nouvelles variantes telles que le Stud, le PLO (5 cards), le Razz, le Dealer Choice, le Stud High-Low, le 2-7 Triple Draw, le H.O.R.S.E, etc.

En 2018, le partage des liquidités est devenu une réalité. Jusqu’en 2018, les marchés régulés du poker sur le net européen étaient cloisonnés, c’est-à-dire que les résidents d’un pays n’avaient la possibilité de jouer que contre d’autres résidents de ce même pays, les résidents espagnols ne pouvaient jouer que contre des résidents espagnols, etc. Le partage des liquidités a été rendu possible suite à des accords entre les organismes régulateurs de différents pays de l’Union européenne. Pour l’instant, seuls la France, l’Espagne et le Portugal permettent à leurs résidents nationaux de s’affronter. La mise en commun des liquidités était demandée depuis longtemps par tous les acteurs du secteur. Il a fallu pourtant plusieurs années pour que les régulateurs des différents pays réussissent à s’entendre, car les législations nationales sur les divertissements ludiques sur le web sont très différentes les unes des autres. Il fallait donc trouver des points de convergence.

Comment jouer au poker en ligne ?

Les sites légaux en dans l’hexagone :

Depuis 2010, le poker online est légalisé en République française. Cela signifie que les opérateurs privés qui ont obtenu une licence auprès de l’ARJEL (cet organisme a été remplacé par l’ANJ en 2020) ont été autorisés à proposer leurs services aux majeurs résidents dans le pays des droits de l’homme. Il y a actuellement 7 sites qui sont autorisés (voir le tableau ci-dessus).

Afin d’acquérir une licence et ensuite de la conserver, chacun des opérateurs agréés doit respecter un cahier des charges très strict qui impose notamment :

• De garantir les fonds déposés (avoirs) par les clients,
• De garantir la sécurité des transactions,
• D’assurer l’équité de la distribution de chaque carte (le caractère aléatoire de la distribution doit être certifié par des organismes indépendants),
• De donner accès aux informations telles que le niveau des blindes, l’historique de jeu, les gains ou les pertes en fin de session, le temps de chaque session.
• La possibilité de virer les gains de façon automatique sur un compte bancaire, à partir d’un seuil déterminé par le client.
• De proposer une information claire sur les risques d’addiction et des liens vers des organismes d’aide aux personnes en détresse.
• La possibilité d’auto-exclusion et mise en avant du jeu responsable.

 

 

Les salles de poker sur le net sont-elles truquées ?

Concernant le poker en ligne, les points de vue sont parfois très différents. Des débutants qui perdent ont quelquefois tendance à penser, à tort, que la distribution des cartes est truquée (rigged en Anglais), mais lorsqu’on se renseigne, on se rend rapidement compte que tout est fait, au contraire, pour que la distribution soit complètement aléatoire. Au poker sur le web, la distribution des cartes est réalisée de manière aléatoire au moyen d’algorithmes de Génération de Nombres Aléatoires (GNA). De plus, aucun tiers ne doit pouvoir pénétrer le système de génération de nombres aléatoires afin d’en prendre le contrôle. Tous les prestataires agréés proposant leurs services sur le web, dans l’hexagone doivent faire vérifier et certifier le caractère aléatoire et sécurisé de la distribution des cartes par des organismes indépendants. Ce point est vital, car il garantit à chacun qu’il est traité de la même façon. De plus, les rooms sur le net ont tout intérêt à ce que chacun ait confiance dans leurs systèmes, qui par ailleurs, n’a pas plus intérêt à favoriser quelqu’un, par rapport à quelqu’un d’autre (les rooms gagnent leur vie grâce au rake, qui est un prélèvement sur les mains gagnantes ou sur les droits d’entrée (quel que soit le gagnant) et sur les buy-in en sit and go et en tournois). Quand on comprend mieux le fonctionnement des acteurs du marché, on se rend compte que sa propre opinion sur les sites permettant de jouer sur internet est plus positive.

Quel est le système économique des salles de poker sur le net ?

Elles se rémunèrent en fonction du rake, qu’on appelle aussi prélèvement. Dans une partie de cash game, le rake (environ 6,5 % ou 7 % (dont 2 % pour l’État français)) est prélevé sur chaque pot gagné au-delà du flop. Le rake ne peut cependant dépasser un certain niveau qu’on appelle le cap. Dans un sit and go ou un tournoi, une partie du buy-in revient à l’organisateur de la partie (et à l’État). Le rake pratiqué par chaque opérateur est affiché sur le site internet de celui-ci, mais aussi dans les informations complémentaires du lobby. Voici un exemple pour une rencontre dont le buy-in (prix d’entrée) est à 1 € chez la marque au W rouge (). 90 centimes vont alimenter le prize pool (total des sommes reversées à ceux qui terminent dans les places payées) et 10 centimes correspondent au prélèvement. Il faut savoir que sur le prélèvement de 10 centimes, une partie revient là aussi à l’État.

Les 4 types de parties autorisés :

Dans une partie de cash game, les blindes restent fixent. Chacun peut s’asseoir ou il le souhaite, dès l’instant qu’un siège est libre. Tout participant peut se lever et quitter une partie à tout moment. Si quelqu’un perd tous ses jetons (ou seulement quelques-uns), il a la possibilité de recaver jusqu’à un montant maximum.

Dans un tournoi, le montant des blindes augmente à chaque niveau (level en Anglais). Un niveau dur un temps défini à l’avance. Ce temps peut être de 3 minutes ou de 30 minutes, par exemple. Cette augmentation régulière des blindes oblige chacun à ajuster sa manière de jouer en fonction du nombre de blindes que représente son tapis. Par exemple au début de la partie, si je dispose de 10 000 jetons, et que les blindes sont à un niveau 50/100, mon tapis est équivalent à 100 big blindes. Puis, au niveau suivant, lorsque les blindes passent par exemple à 75/150, si le montant de mon tapis reste inchangé, je ne dispose plus que d’environ 67 big blindes, etc. Plus tard, lorsque les blindes arrivent à 500/1 000 et si mon nombre de jetons est toujours 10 000, mon tapis ne représente plus que big blindes.

Outre l’augmentation des blindes, dans ce type de compétition, personne ne choisit sa place. Elle lui est attribuée de façon aléatoire avant que ne commence la partie. Un participant sort de la rencontre lorsqu’il a perdu tous ses jetons (sauf lorsque le rebuy est possible ; il est alors possible de se réinscrire). Généralement, une rencontre dure plusieurs heures, voire plusieurs heures par jours pendant plusieurs jours. Ce type d’événement débute à une heure précise et un jour précis, tous deux connus à l’avance. Le nombre de participants peut atteindre plusieurs milliers. Le prize pool (montant redistribué aux gagnants) récompense en général entre 10 % et 20 % des participants. Le prize pool peut facilement atteindre plusieurs dizaines de milliers d’euros, voir plus d’un million d’euros en fonction du buy-in et du nombre d’inscrits (en mode real money).

Un sit and go fonctionne sur le même modèle qu’un tournoi, c’est-à-dire que les montants des blindes augmentent à chaque niveau. En revanche, le nombre de participants est volontairement limité entre 2 et 50, tout au plus. Dès que le nombre de participants prévus est atteint, le sit and go commence aussitôt.

Un freeroll fonctionne exactement sur le même principe que celui d’un tournoi à la différence, que personne ne paie de droit d’entrée. En effet, il n’y a pas de buy-in à payer pour participer à un freeroll. En revanche, il ne faut pas traîner, car le nombre de places est limité. Dès que les inscriptions sont ouvertes, en quelques minutes, des centaines, voire des milliers de sièges sont pris d’assaut. Dans un freeroll, ceux qui terminent dans les places payées gagnent des sous. Cela peut aller de quelques centimes d’euro pour les dernières places à plusieurs centaines d’euros pour les gros freerolls, voire plusieurs milliers d’euros, pour les freerolls exceptionnels.

Les différentes variantes autorisées :

Depuis 2016, il est possible de pratiquer plus d’une dizaine de variantes différentes.

• Texas Hold’em Poker,
• Pot-Limit Omaha (High-Low et 5 cards),
• Limit Omaha,
• Stud,
• Razz,
• Stud High-Low,
• 2-7 Triple Draw,
• Dealer Choice,
• 8-game,
• H.O.R.S.E.

Plusieurs variantes peuvent être jouées de différentes manières comme en no limit, en limit, en pot limit, en jeu mixte.

 

 

Les critères de choix d’une salle sur la toile :

Ici, je ne vais pas vous dire quels sont les meilleurs opérateurs du web, mais je vais vous donner des outils qui vous permettront de trouver celle qui est la plus adaptée à vos besoins. Si vous hésitez, rien ne vous interdit d’ouvrir un compte client chez plusieurs opérateurs, histoire de vous faire votre propre opinion (c’est ce que j’ai fait moi-même).

• En métropole et en outre mer, il n’y a que 2 portails qui permettent de jouer au poker en ligne entre amis. Il s’agit de Winamax et de PokerSatrs. Dans ces 2 lieux virtuels, vous pouvez organiser vos tournois ou parties privées de poker en ligne entre amis et rejoindre les tournois ou parties privés de vos amis avec enjeux financiers à partir de 0,1 € chez la marque pique rouge () et 0,25 € chez la marque au W rouge () la cave ou en mode monnaie fictive uniquement chez PokerStars.
• Le matériel informatique dont vous disposez est le critère le plus important à prendre en compte. En effet, si vous disposez d’un PC récent, les 7 opérateurs peuvent vous convenir. Idem si vous disposez d’une tablette ou d’un smartphone équipé d’Android ou d’IOS (Apple), il n’y a aucune restriction, car les 7 sites de poker online proposent une application à télécharger. Mais si vous disposez d’un ordinateur de type Mac ou Linux, l’éventail des possibilités est plus restreint. Idem si vous êtes équipé d’un smartphone fonctionnant avec Windows Phone. Si vous voulez télécharger un logiciel de poker sur votre ordinateur Mac, vous avez le choix entre Winamax, PokerStars, PMU, Bwin et PartyPoker. Toutes les plateformes des opérateurs sont naturellement compatibles avec un PC. Les possesseurs d’appareils Windows Phone ou d’ordinateur fonctionnant avec Linux ne peuvent se tourner que du côté de la marque au W rouge () pour télécharger un programme permettant de jouer sur la toile.
• Tous les sites de poker légaux proposent un bonus de bienvenue aux nouveaux utilisateurs. Le bonus au poker est une quantité d’euros (500 euros maximums) qui est offerte aux nouveaux venus à condition qu’ils participent à un certain nombre de parties en mode real money. Les conditions d’obtention d’un bonus diffèrent d’un opérateur à l’autre, mais le principe général reste qu’il faut jouer pour gagner des points et ainsi débloquer le bonus de bienvenue dans un délai compris généralement entre 1 et 3 mois après l’inscription.
• Le nombre de personnes actives sur un site internet est un élément déterminant à prendre en compte, car plus la fréquentation du site est importante et plus vous trouverez facilement et rapidement une ou plusieurs parties ouvertes. De plus, si beaucoup de monde s’inscrit, les prize-pools (total des montants versés aux privilégiés qui parviennent dans les places payées) offerts dans les tournois sont aussi plus importantes. Le nombre d’utilisateurs inscrits est aussi un indicateur de la popularité d’un acteur du marché. En effet, plus les participants sont nombreux et plus cela signifie que l’offre de divertissement ludique convient à beaucoup de gens. Les deux prestataires les plus fréquentées sont dans l’ordre la marque au W rouge () et celle au pique rouge ().
• La variété des parties va de pair avec le nombre de participants actif. Car plus le nombre de clients est important et plus la variété des parties proposées est importante. Les prestataires qui proposent une maigre variété de types de parties ou de variantes sont peu fréquentées. Seuls le Winamax et PokerStars proposent toutes les variantes légales en métropole et en outre mer. Les autres concurrents se contentent le proposer du Texas Hold’em et de l’Omaha.
• L’ergonomie des programmes, la possibilité d’effectuer des réglages personnalisés, la qualité du soft, de l’application ou du programme pour navigateur, l’expérience de jeu sont plus ou moins réussies et agréables. Par exemple, le re-player de Betclic est une catastrophe. Le re-player n’est certes pas l’outil le plus utile, mais lorsqu’il est à ce point peu pratique, cela devient un handicap. À l’opposé, un prestataire comme Winamax propose beaucoup d’options de réglages qui permettent même de paramétrer des raccourcis. Il existe donc de vraies différences en termes d’expérience utilisateur. Ici la marque au W rouge () devance tous ses concurrents.
• Chaque opérateur a la main sur le marketing (même pour ceux qui sont en réseau). Les offres promotionnelles, les événements, les freerolls, les programmes de fidélités sont très différents d’un opérateur à l’autre. En matière de promotion et d’offres commerciales, c’est encore une fois la marque au W rouge () qui est largement devant tous les autres. En retrait, il y a PMU, PokerStars et Unibet. Les autres ne proposent globalement pas grand-chose d’exceptionnel.
• Le niveau de jeu des adversaires. Si pour l’instant, vous êtes un piètre joueur de poker, quel que soit l’endroit où vous jouez, vous serez perdant (la bonne nouvelle c’est qu’avec un peu d’entraînement, en lisant quelques tutos ou livres, en visionnant des vidéos réalisés par des pros sur YouTube par exemple, vous pouvez vous améliorer !). En revanche, si vous êtes un peu meilleur que la plupart de vos adversaires à vos limites habituelles, sachez que vous avez un avantage encore plus important chez les opérateurs sur internet les moins fréquentés, car le niveau général il est souvent plus faible.
• Les options de paiement sont à peu près les mêmes partout et aujourd’hui aucune room ne prélève plus de frais ni sur les dépôts ni sur les retraits. En revanche, certains intermédiaires de paiement prélèvent quelquefois des frais. Même si ces frais ne sont pas très élevés, je vous encourage toujours à utiliser le moyen de paiement le moins onéreux.
• La qualité et la quantité de promotions proposées. Les promotions sont-elles destinées aux clients actuels ou au recrutement de nouveaux utilisateurs, ou un mixte des deux comme sur la plateforme préférée de Patrick Bruel () ?
• L’assistance technique était quelquefois problématique il y a une décennie, mais aujourd’hui, tous les opérateurs légaux dans l’hexagone proposent un support technique d’un niveau tout à fait correct. Ce n’est donc, selon moi, pas un critère de choix, d’autant plus que les logiciels de tous les opérateurs fonctionnent bien à l’heure actuelle.
• Le rake est un prélèvement qui est effectué par les salles sur les mises. Le prélèvement est effectué soit sur le droit d’entrée, soit sur les mains. Évidemment, je vous encourage à choisir les rooms qui pratiquent un rake raisonnable à la limite à laquelle vous jouez. Sur ce point, je préfère ne pas donner le classement, car cela n’aurait pas de sens. En effet, il faut vérifier la limite, le type de partie à laquelle on participe et le taux de prélèvement correspondant. Ici, c’est du cas par cas.
• La promotion du jeu responsable.

 

 

Les joueurs internet connus :

Depuis que l’industrie du poker sur la toile est née, beaucoup de gamers sont devenus célèbres comme Chris moneymaker, Gus Hansen, Phil Ivey, Phil Hellmuth, Bruno Fitoussi, Mike Matusow, Daniel Negreanu, Sam Trickett, Doyle Brunson, Niklas astedt, Adrian Mateos Diaz, Benjamin Pollak, Justin Bonomo, Guillaume Diaz, Bertrand Grospellier (Elky), Davidi Kitai, Johan Guilbert (Yoh Viral).

Comment jouer au poker sur le net ?

1. En téléchargeant une plateforme sur son ordinateur.
2. En jouant directement dans un navigateur internet.
3. En téléchargeant une application mobile sur un smartphone ou sur une tablette.

Jouer sur ordinateur, en téléchargeant un programme :

Le plus souvent, pour jouer, on utilise un logiciel à télécharger sur son ordinateur. C’est un programme qu’il faut télécharger depuis le site internet de l’opérateur (cette opération prend de 2 à 3 minutes si vous disposez d’une connexion internet correcte). Lorsque l’archive est téléchargée sur votre ordinateur, il faut double-cliquer dessus pour l’ouvrir et engager l’installation. L’installation dure de 2 à 4 minutes en moyenne. Dès que le programme informatique est installé sur votre ordinateur, vous pouvez vous connecter au moyen des identifiants que vous avez créés en remplissant le formulaire d’inscription. Votre date de naissance vous est aussi demandée pour vous connecter.

Une fois connecté à la plateforme, vous pouvez choisir de jouer en mode monnaie fictive, c’est-à-dire pour le plaisir ou pour progresser ou avec enjeux financiers (à partir de 0,10 €), après avoir déposé une somme sur votre compte client (ou être parvenus dans les places payées dans des freerolls).

Le lobby est la fenêtre principale du programme qui permet de choisir parmi les types de parties, les variantes, les limites et les options. Lorsqu’une partie est sélectionnée, vous n’avez plus qu’à vous “asseoir” et commencer à jouer.

 

 

Outils utiles permettant de mieux jouer :

Quand on est un débutant, une seule table suffit largement, mais lorsqu’on commence à prendre un peu d’expérience, on peut en ouvrir une deuxième, puis une troisième et ainsi de suite. Certains sont à l’aise en multitablant avec 4, d’autres avec 6 ou 10 ou 20. C’est une question de goût, d’expérience et surtout d’entraînement.

Quand on joue plusieurs parties en même temps, il peut être compliqué de prendre des notes sur chacun de ses adversaires et de suivre les actions de chacun, tout en restant concentré. C’est la raison pour laquelle il existe des outils additionnels qu’on appelle des trackers de poker. Ces outils, qui sont autorisés, enregistrent les actions et les statistiques de tous les adversaires que vous affrontez, dans une base de données et affiche, en surimpression à proximité des adversaires, dans un HUD (Head-Up-Display en Anglais), les statistiques que le propriétaire que vous aurez choisi. Les traqueurs sont des outils d’aide à la décision légaux, du moment que les données recueillies le sont pendant les parties auxquelles le propriétaire participe (il est interdit d’acheter ou d’échanger les données de parties auxquelles on n’a pas soi-même participé). Le tracker de poker le plus connu est Holdem Manager, mais il y a aussi PokerTracker, PokerCopilot, Xeester, par exemple. Tous ces outils proposent une période d’essai gratuite d’un mois. Ces programmes peuvent être pour certains acquis dans une fourchette d’une soixante à 150 dollars (ou euros). Xeester, quant à lui, fonctionne avec un abonnement. Ces 4 logiciels sont très performants et sont les quatre d’un très bon niveau.

Le poker sur inetent sans téléchargement :

Certaines personnes ne souhaitent pas, ou n’ont pas la possibilité d’installer un programme directement sur leurs ordinateurs. Pour ces usages, des solutions ont été prévues : le jeu directement dans un navigateur internet, c’est-à-dire sans téléchargement comme chez Winamax, Betclic, Unibet et Bwin.

Jouer au poker en ligne dans un navigateur internet permet de s’affranchir du système d’exploitation. Cela signifie qu’on peut jouer de la même manière sur un PC équipé de Windows, sur un Mac qui marche avec Mac OS X, ou encore sur un ordinateur qui fonctionne sous Linux.

Jouer gratuitement :

L’inscription, le téléchargement, l’installation, l’utilisation des programmes sur la toile, en accord avec la loi française, sont entièrement gratuits. À part chez Unibet (qui ne propose pas de mode play money), quiconque ouvre un compte client chez un opérateur autorisé dans l’hexagone à tout à fait la possibilité de jouer au poker en ligne gratuit, uniquement en mode monnaie fictive, c’est-à-dire sans jamais effectué de dépôt en euros. Tous les utilisateurs ont aussi la possibilité de participer à des freerolls, sans contrepartie. Certains petits malins, grâce aux freerolls se sont même créés progressivement une bankroll, sont jamais avoir eu besoin déposer un seul centime sur leur compte utilisateur.

Bien sûr, chacun a aussi la possibilité le déposer des fonds afin de participer à des parties payantes. Lorsqu’on se connecte à son compte utilisateur, on constate qu’il y a une distinction très nette entre le mode monnaie fictive et celui avec enjeux financiers.

Jouer sur mobile :

Comme d’habitude, la marque au W rouge () a été le premier opérateur à sortir une application permettant de jouer au poker online sur smartphone et tablette. Depuis, tous les autres opérateurs proposent une application permettant de disputer des parties directement sur un smartphone ou une tablette. Pour obtenir une application, il y a 2 solutions.

1. La première consiste à se rendre directement sur le site internet de l’opérateur et à télécharger, puis à installer l’application en question.
2. L’autre solution consiste à aller sur le store correspondant au système d’exploitation de votre appareil nomade, à rechercher le nom de l’opérateur, à télécharger et à installer l’application. Sur iOS, il suffit de se rendre dans l’Apple Store. Sur Android, on utilise le Google Play et lorsqu’on dispose d’un appareil fonctionnant avec Windows Phone, on se rend sur le Windows Store (il n’y a que la marque au W rouge () qui est disponible sur la plateforme Windows Store).

Les particularités de jeu de poker sur internet :

Conseils pour gagner et gagner plus souvent :

• Débuter une session de jeu que lorsqu’on est en forme, bien dans sa peau, bien dans sa tête.
• Se fixer un temps maximum pour une session de jeu et le respecter. Penser à faire une vraie pause et à vous lever de temps en temps, histoire de vous dégourdir les jambes.
• Il ne faut commencer une session que si vous êtes confortablement installé et que vous avez le temps nécessaire devant vous.
• Il faut jouer en fonction de votre niveau et de votre bankroll (c’est votre capitale permettant de jouer). Garder en mémoire que chaque limite de jeu représente un niveau moyen. Il est inutile de chercher à passer à la limite supérieure si vous ne battez pas les adversaires réguliers de votre limite actuelle.
• Une gestion de bankroll est indispensable pour progresser et gagner.
• Lorsque vous montez d’une limite, faites-le très progressivement, tout en continuant à jouer à votre limite habituelle.
• Ne débutez pas plus de parties que vous ce que vous maîtrisez. Certains gamers sont à l’aise avec une table, d’autres avec 4 ou 6, etc. L’augmentation du nombre de parties en simultané doit être progressive.
• Si vous sentez que vous tiltez (le tilt est un état dans lequel se trouve quelqu’un qui perd soudainement toute notion de la rationalité. Cela arrive souvent après un bad beat, c’est-à-dire un mauvais coup perdu par manque de chance alors que vous étiez pourtant favori au départ), quittez toutes les tables, le plus vite possible. Ne revenez vous asseoir que lorsque vous avez retrouvé vos esprits (même si c’est après plusieurs heures voir plusieurs jours). Le tilt est la pire chose qui peut arriver quelqu’un qui joue online, car le tilt fait perdre la sensation du seuil de douleur et au-delà de ce seuil, un malheureux peut tout perdre très rapidement, sans s’en rendre compte dans l’instant.
• Pour progresser au poker, il faut lire des livres, des articles de blogs sur le sujet, regarder les vidéos des pros, tester votre culture avec des quizz, passer en revue vos propres sessions de jeu (un tracker peut-être utile). Le coaching peut aussi être une solution (bien qu’un peu onéreuse). Les poker schools (écoles) des différents opérateurs sont des outils gratuits, dans lesquels vous pouvez glaner de précieux conseils.
• Si vous habitez dans une ville dans laquelle vous pouvez pratiquer le poker en face à face, c’est un excellent complément à vos sessions sur le net. Sachez qu’il existe des clubs amateurs dans toutes les villes moyennes (ou grandes) de France.
• N’hésitez pas à échanger sur les stratégies avec vos amis ou avec d’autres personnes sur des forums.
• Pour progresser dans n’importe quelle variante, il faut non seulement se documenter, réfléchir sur le sujet, échanger avec d’autres personnes, mais aussi jouer, jouer et jouer encore. Il ne s’agit pas de jouer bêtement, mais de jouer en réfléchissant à chaque action, à votre stratégie générale, en cherchant à comprendre les adversaires, ainsi que les dynamiques.
• Certains gamers ont des capacités de calcul intéressantes, d’autres sont plus fort dans le profilage, d’autres encore ont une capacité d’adaptation rare. Chacun doit trouver ses qualités et tenter de les améliorer pour gagner au poker online. Nous possédons tous aussi nos faiblesses. Cherchez donc identifiez vos talons d’Achille et mettez votre énergie à corriger vos faiblesses. Chercher à résoudre vos faiblesses est aussi déterminant que parfaire vos points forts.
• Si malgré tous vos efforts, vos remises en cause, vos réflexions, vous êtes régulièrement perdant où que vous ayez le sentiment de stagner, n’hésitez pas à faire une pause, même un peu longue. Le poker est un jeu riche et intéressant, mais il y a aussi beaucoup d’autres choses à découvrir dans la vie. Ne négligez pas vos amis, votre famille, votre travail, vos autres hobbys. Rappelez-vous toujours qu’il n’y a pas que le poker dans la vie !

S’adapter au poker sur la toile :

Le rythme de jeu :

Le rythme des parties sur le web s’enchaine rapidement, particulièrement si on multitable. En effet comme, la gestion du paquet est automatique, il n’y a pas de temps perdu à attendre que le dealer soit prêt, qu’il batte le paquet, qu’il distribue bien carte par carte, sans se tromper, sans fausse donne. Non seulement la distribution est extrêmement rapide, mais le temps imparti à chacun est strictement limité dans le temps, ce qui permet d’accélérer le rythme de chaque coup. Pendant la distribution des mains, il y a peu d’informations à prendre à part peut-être le repérage des personnes qui foldent avant leur tour. Une enquête rapide sur les adversaires permet d’identifier ceux qui multitablent et qui ont une attention assez faible à chacune d’elles. Ce sont souvent des individus qui ont une manière de jouer de type ABC, c’est à dire automatique et qu’il est souvent possible de voler, car ils défendent peu leurs blindes.

Peu de tells :

L’observation des timings tells permet de prendre des notes sur le temps que mettent les individus à réagir suivant les situations. Jouent-ils rapidement ou lentement ? Existe-t-il des schémas qui se répètent ou se produit-il des ruptures dans les actions ou les rythmes ? Comment réagissent-ils quand la décision à laquelle ils sont confrontés est difficile à prendre ?

Dans la catégorie des tells, on range notamment son pseudo. Il existe, par exemple, des théories sur la manière dont le pseudo est écrit. En majuscule en minuscule, sur ce qu’il désigne. Mais dans la mesure où ces théories sont assez connues, on peut imaginer facilement que des personnes averties choisiront davantage des pseudos ressemblant à ceux des débutants.

La majorité des patterns dans le jeu online viennent de la manière de miser. Quel type de mise effectue notre adversaire ? Aime-t-il limper ? Aiment-ils relancer ? Est-il un adepte des continuations bets, des 3 bets, des 4 bets ?

Comment se comporte-t-il à la turn, à la river ? Bluff-t-il beaucoup ? Est-il serré ou large ? Toutes ces indications peuvent être observées et faire l’objet de notes. Elles peuvent aussi être fournies par un trackeur comme Holdem Manager qui va patiemment, main après main, enregistrer des statistiques exactes sur les manières de jouer de chacun.

Rapidité et logique :

Sur Internet, les éléments de prise de décision sont souvent en rapport avec le jeu pur, comme la texture des bords, la qualité des mains, l’évaluation des rangs, le calcul des outs, ainsi que les données fournies par un tracker (si on s’en sert), ou l’observation des patterns de chacun. Le type de données disponible détermine la manière d’agir et de penser l’action. Les données brutes, les statistiques (quand on possède), l’interprétation de ces données sont essentielles pour conduire des actions. Il faut donc se montrer attentif aux différentes dynamiques observables, pour en tirer parti.

 

Les tapis profonds sont rares :

À part quelques compétitions deepstack comme certains tournois de poker en ligne, les tapis sont souvent peu profonds, ce qui induit un type de jeu très particulier, dans lequel la pression des blindes est souvent très importante.

À quoi ressemblent les joueurs ?

Le profil de chacun dépend, en vérité, du niveau de la limite à laquelle on joue et parfois aussi de la variante. Dans certains sit and go rapides à base de loterie, par exemple le Spin and Go, l’Expresso, on rencontre une grande proportion de joueurs récréatifs, à toutes les limites.

Sur internet le jeu est à la fois rapide et énergique. C’est-à-dire qu’il y a beaucoup d’action, avec parfois des mains très light. Les amateurs du jeu online aiment relancer, sur relancer et les trois ou quatre bets ne sont pas rares.

Limp = joueur récréatif :

On reconnaît les débutants à leurs limps. En effet, ceux-ci adorent limper preflop (ou suivre). Alors que les individus qui ont un peu plus d’expérience chercheront à entrer dans un coup en relance, la plupart du temps.

Le confort de jeu :

Devant son écran d’ordinateur ou de smartphone, on peut être assis tranquillement sur une chaise, sur un fauteuil ou même couchée sur son lit, personne ne s’en rend compte. La tenue vestimentaire est tout à fait libre. Elle peut être des plus légères, voire inexistantes. On peut également boire (sans alcool) et manger à volonté, écouter de la musique de son choix. Bref on est chez soi et on joue comme on veut. Il est même possible de jouer plusieurs parties en même temps. Les traqueurs peuvent apporter une aide décisionnelle importante. Cela permet de suivre plusieurs parties en même temps, avec une attention moindre que si l’on ne disposait pas de ces outils de tracking. De plus, il est possible, après une session de revoir les coups et de les analyser.

Des enjeux parfois sans rapport avec la mise de départ :

Depuis quelques années, sur Internet on a vu arriver des sit and go dont Les Prize pools sont sans rapport avec le buy-in demandés. Dans des sit and go comme le Spin and Go ou l’Expresso, la mise de départ peut être multipliée par 10 000, alors que seulement 3 personnes ont payé un buy-in. Ce jeu, très inspirée de la loterie est parfois déconnecté de la réalité des partis classiques, mais plait beaucoup aux gambleurs. Les enjeux sont donc très variables.

  Je joue avec Winamax

L’imposition :

Les joueurs récréatifs ou occasionnels ne sont pas imposables et les maigres revenus qu’ils tirent éventuellement du poker n’ont pas besoin d’être déclarés aux impôts.

C’est très différent si les revenus issus du poker deviennent habituels, élevés et particulièrement s’ils dépassent les autres types de revenus.

En effet, l’administration fiscale française distingue les gamers occasionnels, même si ceux-ci peuvent de temps en temps peut faire une belle performance, des joueurs professionnels ou tout du moins des gagnants réguliers. Dans ce cas, ces contribuables doivent déclarer leurs gains au titre des “bénéfices non commerciaux”. Si vous vous trouvez dans cette situation, je vous recommande de ne pas négliger cette déclaration, car les services fiscaux hexagonaux, de même que les tribunaux se montrent intransigeants (plusieurs joueurs de poker semi-professionnel et professionnel en ont fait les frais avec des pénalités allant jusqu’à 80 %).

Si vous suivez l’actualité du poker en ligne vous savez probablement que si vous obtenez des revenus réguliers et importants en jouant au poker, il y a des pays plus hospitaliers fiscalement que la France, comme le Royaume-Uni ou Malta.

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